Avenir Sport

Avenir Sport
EPPCS, la spécialité EPS au BAC du lycée Arthur Rimbaud d'Istres.

Nombre total de pages vues

POUR RETOURNER SUR LE BLOG EPS DU LYCEE RIMBAUD CLIQUER DANS LA MARGE A DROITE SUR LE LOGO

SOMMAIRE

Cliquez sur un thème...

C'est le nombre de pages vues sur ce blog...

Comment utiliser ce blog?

Vous pouvez accéder aux articles en cliquant dessus. Certains sont succincts d'autres plus complets. Le blog rassemble les informations utiles et mes approches relatives aux écrits en EPPCS de terminale. Ce blog n'est pas un modèle, c'est une forme possible de transmission. Vous retrouverez tous les éléments nécessaires afin de boucler le programme. Certains sont plus méthodologiques, d'autres sont à titre informatifs. Bon courage et que la force soit avec vous! Franck Martini. ;)

 

Brainstorming


Définition du brainstorming appliqué à la dissertation

Le brainstorming (ou remue-méninges) est une phase préparatoire à l’écriture de la dissertation.
Il consiste à recueillir sans filtre ni hiérarchie toutes les idées possibles en lien avec le sujet donné. L’objectif est de produire un maximum de pistes (arguments, exemples, concepts, problématiques) avant de les organiser et de les sélectionner.

En dissertation, le brainstorming est une étape essentielle car :

  • il libère la pensée et évite de rester bloqué sur une seule idée,

  • il permet de mettre en relation des connaissances variées (cours, expériences personnelles, actualité sportive),

  • il ouvre le champ des possibles pour ensuite construire un plan logique et cohérent.


Pistes de réflexion à donner aux élèves

Lors du brainstorming, il est utile de stimuler les élèves avec des axes de questionnement. Par exemple :

  1. Analyse du sujet

    • Quels sont les mots-clés du sujet ?

    • Quels synonymes, notions ou oppositions peut-on associer à ces mots-clés ?

  2. Axes possibles d’argumentation

    • Historique : comment la question a-t-elle évolué dans le temps (par exemple, développement du sport féminin, du sport paralympique, de la haute performance) ?

    • Social et culturel : quelles valeurs ou quelles représentations sociales sont en jeu ?

    • Scientifique et technique : quels apports des sciences du sport, de la physiologie, de la psychologie ou de la technologie ?

    • Éthique et philosophique : quels dilemmes, quelles limites ou quelles perspectives ouvre ce sujet ?

  3. Exemples concrets

    • Événements sportifs marquants (Jeux Olympiques, exploits sportifs, scandales).

    • Figures emblématiques (athlètes, entraîneurs, penseurs du sport).

    • Situations vécues en pratique ou en EPS.

  4. Organisation future

    • Quelles idées semblent aller ensemble ?

    • Quelles tensions ou contradictions apparaissent ?

    • Vers quelle problématique peut-on tendre ?


👉 En résumé, le brainstorming est une phase d’ouverture : on cherche à accumuler la matière première, avant de passer à la phase de tri (construction d’une problématique et d’un plan).




Exemple pratique : « Le sport est-il facteur d’égalité ? »


1. Analyse du sujet

  • Mots-clés : sport / facteur / égalité.



  •  

    Questions associées :

    • Le sport favorise-t-il vraiment l’égalité ou reproduit-il des inégalités sociales, économiques, biologiques, culturelles ?

    • De quelle égalité parle-t-on ? (égalité des chances, égalité des sexes, égalité sociale, égalité d’accès, égalité de performance…).


    


2. Idées libres (phase de remue-méninges)

  • Le sport scolaire comme outil d’intégration sociale.

  • Les Jeux Paralympiques et la valorisation des athlètes en situation de handicap.

  • Le sport féminin : progrès mais persistance d’inégalités (salaire, médiatisation, accès aux instances dirigeantes).

  • Le rôle des grandes compétitions internationales pour mettre en avant la diversité.

  • Inégalités d’accès selon les moyens financiers (matériel, licences, voyages, clubs).

  • Les différences biologiques entre hommes et femmes, la question du transgenre dans le sport.

  • Le sport comme terrain de discrimination (racisme, sexisme, homophobie).

  • Les politiques publiques : programmes de développement du sport dans les quartiers populaires.

  • Le sport professionnel : marché inégalitaire (quelques stars millionnaires, beaucoup de sportifs précaires).

    


3. Classement et organisation possible

  •  

    Arguments en faveur de l’égalité :

    • Vecteur d’intégration (scolaire, sociale, culturelle).

    • Visibilité accrue des minorités et des athlètes handicapés.

    • Valeurs universelles (respect, solidarité, fair-play).

  •  

    Arguments contre :

    • Disparités économiques et sociales très marquées.

    • Différences biologiques et débats sur la mixité.

    • Inégalités persistantes dans la médiatisation et les salaires.

    

4. Vers une problématique

➡️ Dans quelle mesure le sport peut-il être considéré comme un outil de promotion de l’égalité, malgré les inégalités qu’il reproduit encore aujourd’hui ?


👉 Ce type de schéma montre aux élèves que le brainstorming n’est pas une fin en soi : c’est une matière brute qu’on va ensuite organiser pour construire une problématique et un plan structuré.




Sujet : « Le sport est-il facteur d’égalité ? »

Introduction

  • Accroche : Le sport est souvent présenté comme un langage universel, porteur de valeurs de respect et de fraternité. Les Jeux Olympiques, par exemple, rassemblent des athlètes du monde entier dans un esprit d’unité.

  • Définition des termes :

    • Sport : ensemble des pratiques physiques organisées, institutionnalisées, scolaires ou professionnelles.

    • Facteur : élément qui contribue à produire un effet.

    • Égalité : principe selon lequel les individus doivent disposer des mêmes droits, chances et dignité, quelle que soit leur origine, leur sexe ou leurs moyens.

  • Problématique : Le sport est-il réellement un vecteur d’égalité ou, au contraire, un espace où s’expriment et se reproduisent de fortes inégalités sociales, économiques et biologiques ?

  • Annonce du plan : Nous verrons d’abord en quoi le sport peut être un formidable levier d’égalité (I), avant de montrer qu’il reste profondément traversé par des logiques d’inégalités (II). Enfin, nous envisagerons dans quelle mesure il constitue un espace de tensions mais aussi de transformations possibles (III).


I. Le sport comme vecteur d’égalité et d’intégration

  1. Le sport scolaire et fédéral comme espace accessible à tous, indépendamment de l’origine sociale.

  2. Le rôle des compétitions (JO, Paralympiques) dans la valorisation de la diversité et la visibilité des minorités.

  3. Les valeurs universelles portées par le sport : solidarité, fair-play, respect de l’adversaire.


II. Les limites et inégalités persistantes dans le sport

  1. Des inégalités sociales fortes : coût des licences, infrastructures inégalement réparties, équipement.

  2. Inégalités de genre : écarts de rémunération, de médiatisation, de reconnaissance (ex. football féminin vs masculin).

  3. Discriminations persistantes : racisme, homophobie, exclusions liées au handicap ou à la performance.


III. Le sport, un espace de tensions mais aussi de transformation

  1. Le sport reflète les inégalités sociales de la société, mais il peut aussi les combattre.

  2. Rôle des politiques publiques et éducatives pour réduire ces écarts (programmes de développement, lutte contre les discriminations).

  3. Une dynamique en cours : progrès visibles (féminisation, inclusion du handicap, médiatisation diversifiée) qui montrent un potentiel de transformation.


Conclusion

  • Bilan : Le sport est à la fois un miroir des inégalités sociales et un outil puissant pour les réduire.

  • Ouverture : Plus largement, il interroge notre capacité à construire une société réellement égalitaire. Peut-on attendre du sport qu’il soit exemplaire, ou n’est-il qu’un reflet des évolutions sociales et culturelles plus larges ?


👉 Avec cet exemple, tes élèves verront le cheminement complet : brainstorming → organisation → problématique → plan rédigé.



📝 Fiche pédagogique – La méthode du brainstorming en dissertation (spécialité EPPCS)


1. Qu’est-ce que le brainstorming ?

👉 Le brainstorming est une phase préparatoire de la dissertation.
Il consiste à :

  • noter un maximum d’idées sans se censurer,

  • associer des notions, exemples, expériences,

  • produire une matière brute qui servira ensuite à construire une problématique et un plan.

But : libérer la pensée pour éviter de rester enfermé dans une seule piste.


2. Exemple pratique – Sujet : « Le sport est-il facteur d’égalité ? »

Étape 1 – Analyse des mots-clés

  • Sport : pratique physique, scolaire, fédérale, professionnelle.

  • Facteur : élément qui contribue à un effet.

  • Égalité : égalité des chances, d’accès, de dignité, de résultats.

Étape 2 – Idées en vrac (brainstorming)

  • Le sport scolaire comme outil d’intégration.

  • Jeux Paralympiques : visibilité du handicap.

  • Féminisation du sport : progrès et inégalités persistantes.

  • Inégalités sociales : coût du matériel, accès aux clubs.

  • Sport professionnel : quelques stars riches, beaucoup de précarité.

  • Discriminations : racisme, sexisme, homophobie.

  • Valeurs universelles : respect, solidarité, dépassement de soi.




Je rentre dans les détails des thèmes parce que l'on est au début de l'année et on ne connait rien de la culture sportive à priori...

Données générales

1. Le sport scolaire comme outil d’intégration

Le sport à l’école est un espace où les différences sociales ou culturelles s’atténuent : chacun porte le même short, joue dans la même équipe, participe au même effort. Cela permet de créer du lien, de l’entraide et de l’égalité dans la pratique.

  • Exemple : un tournoi inter-classes de football ou de handball où élèves populaires et plus discrets se retrouvent sur le terrain avec un objectif commun.

  • Exemple : l’UNSS (Union Nationale du Sport Scolaire) qui organise des compétitions accessibles à tous, quel que soit le niveau ou l’origine sociale.

  •  https://www.youtube.com/watch?v=IKtCL9lxC74


2. Jeux Paralympiques : visibilité du handicap

Les Jeux Paralympiques mettent en avant des athlètes en situation de handicap qui deviennent de véritables modèles pour le grand public. Ils montrent que la performance et l’excellence ne sont pas réservées aux valides.

  • Exemple : Marie-Amélie Le Fur (athlète française amputée) plusieurs fois championne paralympique.

  • Exemple : David Smétanine (natation handisport) ou Michaël Jérémiasz (tennis fauteuil).

  • https://www.youtube.com/watch?v=LsC7Up1GMtg


3. Féminisation du sport : progrès et inégalités persistantes

Les femmes ont progressivement gagné leur place dans le sport de haut niveau, mais des écarts subsistent.

  • Exemple : la Coupe du Monde de football féminin 2019 en France a été très médiatisée, mais les salaires restent très inférieurs à ceux des hommes.

  • Exemple : Clarisse Agbégnénou, judokate française, multiple championne du monde et olympique, figure d’excellence sportive féminine.

  • https://www.youtube.com/watch?v=qOMoQ61Vtjw


4. Inégalités sociales : coût du matériel et accès aux clubs

Le sport n’est pas toujours accessible à tous, notamment en raison du prix des licences, du matériel ou de l’éloignement des infrastructures.


5. Sport professionnel : quelques stars riches, beaucoup de précarité

Le sport de haut niveau ne signifie pas forcément richesse. Seule une minorité de stars gagnent des millions, alors que la majorité des sportifs pros vivent dans une grande précarité.

  • Exemple : Kylian Mbappé ou Novak Djokovic sont multimillionnaires, mais de nombreux cyclistes pros du peloton ou footballeurs de divisions inférieures peinent à dépasser le SMIC.

  • Exemple : 50 % des sportifs de haut niveau français arrêtent leur carrière sans diplôme ni reconversion.

  • https://www.youtube.com/watch?v=j2U6tNfXzP4


6. Discriminations : racisme, sexisme, homophobie

Le sport reste marqué par des discriminations, malgré son idéal universel.

  • Exemple : chants racistes contre des footballeurs noirs comme Mario Balotelli ou Samuel Eto’o.

  • Exemple : homophobie dans le football, où peu de joueurs osent faire leur coming out.

  • Exemple : Serena Williams (tennis) qui a dénoncé les jugements sexistes dont elle a été victime.

  • https://www.youtube.com/watch?v=WqQEf9NM_54


7. Valeurs universelles : respect, solidarité, dépassement de soi

Le sport incarne aussi des valeurs partagées dans toutes les cultures. Ces valeurs sont souvent mises en avant dans les grands événements sportifs.

  • Exemple : le haka des All Blacks au rugby, symbole de respect et de tradition.

  • Exemple : Jesse Owens, athlète noir américain qui triomphe aux JO de Berlin 1936, symbole d’un dépassement universel face aux idéologies racistes.

  • Exemple : le handball français, souvent cité pour la solidarité d’équipe et le respect de l’adversaire.

  • https://www.youtube.com/watch?v=NeLnsHCB2XQ





Je ferme la parenthèse des exemples et je reprends le cours du développement...


Étape 3 – Classement et organisation

  • En faveur de l’égalité : intégration, valeurs, diversité.

  • Contre l’égalité : argent, genre, discriminations.

  • En tension : sport comme reflet de la société mais aussi comme moteur de changement.


3. Problématique

➡️ Dans quelle mesure le sport peut-il être considéré comme un outil de promotion de l’égalité, malgré les inégalités qu’il reproduit encore aujourd’hui ?


4. Plan proposé

I. Le sport comme vecteur d’égalité et d’intégration

  • Accessibilité scolaire et fédérale

  • Grandes compétitions comme vitrines de diversité

  • Valeurs universelles

II. Les inégalités persistantes dans le sport

  • Accès social et économique

  • Inégalités de genre

  • Discriminations diverses

III. Un espace de tensions et de transformations possibles

  • Reflet de la société

  • Politiques publiques et rôle de l’éducation

  • Évolutions récentes vers plus d’égalité


5. Conclusion

  • Bilan : Le sport est un miroir des inégalités mais aussi un levier de progrès.

  • Ouverture : Peut-on attendre du sport qu’il soit un modèle d’égalité, ou doit-on d’abord transformer la société pour que le sport suive ?


Sujet → Brainstorming → Classement → Problématique → Plan → Dissertation


Modèle du devoir n°1 EPPCS 2025




NOM :                                                      prénom :                                                              Classe :

NOTE :

 

Corrections sur le blog EPPCS à la fin de l’article n°8 (onglet 8)

 

« Le sport est-il facteur d’égalité ? » (Travail préparatoire à la dissertation) / 5 points

1.     Analyse du sujet

 

2 Questions associées :

  

3. Idées libres (phase de remue-méninges)


 4.     Classement et organisation possible (arguments en faveur de l’égalité et arguments en défaveur)

 

 5.     Vers une problématique

  

Sujet : « Le sport est-il facteur d’égalité ? » (Dissertation) /15pts


Introduction (/5pts)

 

Accroche :

 

Définition des termes :

  

Problématique :

  

Annonce du plan en 3 parties :

 

 

Réaliser ensuite en continu l’écriture complète et illustrées des trois parties du plan. Puis, à la fin, rédiger la conclusion avec le bilan et l’ouverture (/10pts)

 

 


Les MAPMINDS (ou cartes mentales) premier cours...

 Mapmind ou carte mentale en EPPCS terminale

 

Principes :

C’est une aide à la réflexion lorsque l’on déconstruit le texte

C’est une aide à la pensée puisque on voit comment un autre a organisé sa réflexion

C’est une aide à la compréhension car il faut suivre la logique de l’autre et l’intégrer à sa propre logique

C’est une aide à la mémorisation car on organise le savoir en fonction de sa pensée personnelle

La mapmind ouvre l’exigence d’ordonner notre pensée

Elle nous oblige à nous couper de la pensée linéaire et de concevoir la complexité

Elle impose d’organiser la complexité en priorisant

Elle guide la réflexion

Elle présente forcément des espaces vides qu’inconsciemment on peut tenter de combler

 

Voici des CM à propos des bienfaits du sport et de l'AP:











Pour créer une carte mentale

on doit d’abord commencer par définir le sujet central. C’est le coeur de notre mind map. C’est de là que partent toutes nos branches. 

Pour déterminer ce sujet, on se pose la question suivante : 

Qu’est-ce que je cherche à faire ?

Sujet central
Toutes les Mind Maps ont un sujet ou thème central commun. Il est symbolisé par une image, un mot ou un concept central.

Page en format horizontal
De part sa structure extensive, les Mind Maps se prêtent mieux à un format horizontal.

Branche par sous thème
Articulées autour d’un noyau central, les Mind Maps mettent en œuvre des lignes, des symboles, des mots, des couleurs et des images illustrant des concepts simples et faciles à mémoriser.

Ramification
À la manière des végétaux, les Mind Maps se divisent en éléments secondaires. Chacun des prolongements constituent des groupements secondaires d’un ensemble organisé à partir du sujet central.


Comment fonctionne une mind map ?
Les Mind Maps sont élaborées à partir d’un noyau central (idée principale) et permettent d’avoir accès à des associations d’idées, de pensées, de réflexions, mais également des lignes, des symboles, des couleurs et même des images, afin d’illustrer clairement des idées et des sous-idées sur le même sujet. Faire un mapping fonctionne alors par représentation graphique et a pour avantage de faciliter la mémorisation des idées trouvées par le biais de cette technique, mais également de clarifier ses idées, les regrouper et les structurer lors d’une gestion de projet (en savoir plus sur Sharepoint par exemple).

 

Les 5 étapes de création d’une mind map :
Créer une idée centrale
Sur papier, une carte mentale ressemble à un arbre, avec le thème principal placé bien au centre de la carte. Cette dernière peut être une feuille de papier ou encore un tableau. Le plus important est d’avoir assez de place, mais veillez aussi à ce que tous les collaborateurs puissent bien voir le mind map et le cheminement mental.

Ajouter des branches à votre carte
Ensuite, pour créer des cartes mentales, il faut des branches connecteurs. Ces branches ou ces lignes serviront de guides vers les sous-thèmes représentés par des mots importants ou plus précisément des mots-clés. À partir de là, vous pouvez utiliser des branches encore plus petites qui poussent dans d’autres domaines connexes. 
À chaque niveau naissant, vous vous éloignez un peu plus des idées évidentes. C’est là tout l’intérêt d’une carte mentale car cette technique peut vous aider à explorer un sujet dans sa totalité et bien au-delà de sa valeur initiale.
 
Ajouter des mots-clés
Comme mentionné précédemment, les mots-clés seront l’apogée de chaque branche afin que le porteur de projet et l’équipe entière puissent se repérer sur l’outil heuristique. En effet, chaque idée doit être briefée en un mot-clé (2 au maximum). Il est alors important de choisir les mots adéquats car ils évoqueront toutes les informations déjà mémorisées.

Code couleur pour vos branches
Mettre de la couleur permettra de classifier les informations et ainsi faciliter la lecture de la carte mentale. Pour ce faire, chaque branche aura sa propre couleur.


Avantages et inconvénients de la mind map
Nous l’avons vu plus haut : peu importe le projet, une mind map est toujours la bienvenue ! En effet, les cartes mentales présentent plusieurs avantages, mais aussi quelques inconvénients.

Elles permettent d’afficher un sujet de manière à révéler les connexions clés ;
Elles donnent des informations de qualité en un coup d’œil et permettent un approfondissement du sujet ;
Elles constituent un outil de collaboration formidable 

Les inconvénients d’une carte mentale sont les suivantes :
Texte très limité : les idées et mots-clés doivent être formulés très brièvement, sinon personne ne peut s’y retrouver, surtout si on crée le mind map à la main donc sans l’aide d’un logiciel.

On peut aussi, comme on l'a fait: décortiquer la pensée d'un texte en carte mentale... pour mieux l'exposer et la comprendre. 
On peut créer une carte pour se représenter la dissertation que l'on va faire; comme un road-book à suivre ensuite...